Outre-mer et si on bougeait les lignes ", avec l’aide des rédactions des 1ères a interrogé transporteurs, experts, élus et usagers. Outre-mer la 1ère • Publié le 23 mai 2022 à 11h34
La femme a la vie plus facile, sauf si elle est affreusement femme, même banale j'entend par la, baisable aura toujours plus de chance à tous les l'avoir vu dans mon ancienne boite ou j'étais proche de ceux qui recrutaient, les femmes ont besoin de moins de diplôme pour travailler. A niveau égale, la femme attirante sera toujours gardée, l'homme les hommes, les femmes font ce qu'elles veulent, c'est elles les princesses, l'homme doit tout faire, draguer, protéger, j'en parle pas...L'homme est contraint d'être performant, un problème que n'a pas la femme vu que du plaisir, elle en prendra quasiment plus sans lui de toute façon. Ce n'est pas le cas de l' cas de conflit, tout le monde prend toujours la défense du plus faible, vu que la femme est encore considérer comme le sexe faible...La plupart du temps si tu t'embrouille avec une femme, tu passes pour le gros con de toutes les situations, l'homme rend la vie de la femme plus facile, parce qu'il l'a considère comme fragile ou parce qu'il veut se la en boite gratuite, conso gratuites, rentre partout, fait de nouvelle connaissance plus tout cela pour dire que si la femme a la vie plus facile, ce n'est aucunement de sa faute...C'est celle de l'homme, gros crevard que nous sommes à toujours considérer les femmes comme des princesses parce qu'on veut tremper notre bout...Si la femme est sur un petit nuage à notre époque, c'est totalement la faute de l'homme! Tousles épisodes par saison de Ils font bouger les lignes sur Télé-Loisirs
Le 30 juin dernier, Crise-Up a organisé un afterwork sur le cyberharcèlement et une équipe de tournage était également sur place pour mettre en lumière ce sujet d'actualité. Dans ce documentaire Ils font bouger les lignes » présenté par Olivier Delacroix, notre responsable du management des situations humaines sensibles, Anne-Véronique HERTER partage son témoignage sur l’expérience qu’elle a vécu mais également comment aujourd’hui elle accompagne les entreprises à lutter contre ces comportements déviants chez Crise-Up. Si vous l’avez manqué, nous vous invitons à visionner ce reportage sur le cyberharcèlement et découvrir ainsi des témoignages prouvant que ce type de harcèlement est présent partout à l’école, au travail, dans nos vies privées… et qu’il est urgent d’agir pour en venir à bout. Si vous souhaitez mettre en place un plan de prévention au sein de votre structure, contactez-nous à l’adresse suivante This email address is being protected from spambots. You need JavaScript enabled to view it. Rappelons-le, nous sommes tous acteurs de prévention.
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Ilsfont bouger les lignes : Le Poids des traditions. Si notre société évolue dans ses codes et ses repères, c’est souvent grâce aux combats de ceux qui ont eu le courage de les remettre en Programme TV > Vidéos > Ils font bouger les lignes France 5 Harcèlement en ligne la fin de l'impunité ? Ils font bouger les lignes France 5 Harcèlement en ligne la fin de l'impunité ?

LeTube, le magazine média de CANAL+, présenté par Isabelle Ithurburu.

A travers les récits de leurs vies et de leurs expériences, des hommes et des femmes nous racontent le cheminement qui leur a fait explorer les nouveaux territoires de notre société. Auprès de ces éclaireurs, Olivier Delacroix est le témoin de batailles qui peuvent tous nous Si notre société évolue, dans ses codes et ses repères, c’est souvent grâce aux combats de ceux qui ont eu le courage de les remettre en question. A travers les récits de leurs vies et de leurs expériences, des hommes et des femmes nous racontent le cheminement qui leur a fait explorer les nouveaux territoires de notre société. Auprès de ces éclaireurs, Olivier Delacroix est le témoin de batailles qui peuvent tous nous qu’ils ont su échapper aux normes ou renverser des situations dans lesquelles ils étaient enfermés, ces femmes et ces hommes nous invitent à réfléchir, à s’interroger sur la société dans laquelle nous évoluons. En refusant de capituler, en refusant l’inertie, ils ouvrent les portes du monde de demain et nous emmènent dans leur sillage. Conscients que rien n’est gagné d’avance, ils font bouger les lignes pour eux, pour nous tous.
Lemaire de Strasbourg a fait jeudi 18 octobre le bilan de son action culturelle, Elle atteint le quart du budget de la ville. Roland Ries a évoqué les évènements qui font bouger les lignes l'essentiel Daniel Bustaffa, dit "le Bus" , reste toujours à ce jour le seul international de rugby à XV de Carcassonne. À 66 ans, devenu vigneron à Aigues-Vives, il s’apprête à faire ses dernières vendanges. Très attaché à son club de cœurTout a débuté à 12 ans alors qu’il pratiquait le handball au collège de la Bertrande, à Cuxac-Cabardès. L’arrivée de Pierre Conquet comme prof d’EPS le convertissait au ballon ovale. Ce dernier, grand théoricien du rugby et ancien joueur de l’US Carcassonne, le faisait enrôler sous les couleurs "jaune et noir" du club de la préfecture. Pétri de qualités, Daniel Bustaffa effectuait une progression fulgurante. Encore cadet, il évoluait à 17 ans directement en équipe première. En 1975, il faisait partie de l’équipe qui, en finale face à Cognac, accédait à la 1re division avec les Mur, Foulquier, Cervera, Vincent, Lafaille, Poujade, Pujol et quelques autres, et à la barre Loulou Rouan. Repéré rapidement pour ses crochets intérieurs dévastateurs, le XV de France lui faisait les yeux doux et lui ouvrait les portes d’une première sélection internationale contre la Roumanie en mai 1977. S’ensuivaient une tournée en Argentine, en Afrique du Sud, en Nouvelle-Zélande, le tournoi des 5 nations, 14 capes en bleu. "Hormis l’Australie et l’Irlande, j’ai rencontré toutes les équipes majeures du monde de l’Ovalie", se réjouit-il. Son grand regret reste son forfait face aux All Blacks dû à une sale blessure à la main contre les Fidji quelques jours auparavant, encore dans toutes les mémoires. Ce fut la première victoire de la France, à Auckland, le 14 juillet 1979. Son plus grand souvenir est la victoire face à ces mêmes Néo-Zélandais, deux ans plus tard, au stadium de Toulouse. Parmi tous les joueurs qu’il a côtoyés, les Palmié, Imbrenon, Cholet, Skrela, Paco, Rives, Paparemborde, Gallion, Sangali… Son amitié avec Guy NovèsGuy Novès a une place toute particulière "Nous nous voyons à La Franqui régulièrement, animés par deux mêmes passions, la pêche au gros et la chasse. Une profonde amitié est née entre nous avec des valeurs communes", explique celui qu’on a surnommé "le Bus". L’ex- entraîneur de l’équipe de France a d’ailleurs une anecdote croustillante, renforçant alors les liens du Carcassonnais et du Toulousain "Avec Romeu, Bertranne et Aguirre, à coups de schémas tactiques et de passes croisées, les ballons n’arrivaient que très rarement aux ailes, Daniel à droite, et moi à gauche. Nous regardions passer les masques. Aussi dans l’aéroport de Tokyo lors d’une tournée au Japon, nous avions confectionné une pancarte Nous voulons des ballons’, ce qui n’a pas beaucoup plu à Jacques Fouroux, le capitaine d’alors", s’amuse Novès. Parmi les anciens de l’USC, le "Bus" revoit la "Gute" Jean-Claude Gutierrez, "Barate" Jean-Claude Barataud, Jo Foulquier et Paul Barella entre autres. Depuis trois ans, une amicale des anciens joueurs de l’USC a été créée sous la présidence du grand Jo, dont Daniel Bustaffa est vice-président. "Un club de rugby se doit d’être porté et particulièrement par les anciens. Nous regrettions souvent de ne pas être considérés par le staff du club comme cela devrait être. Il faut participer à son évolution et montrer aux joueurs actuels que l’USC a une histoire, avec des figures qu’ils doivent connaître", revendique l’ancien international. N’ayant connu qu’un seul club, l’USC, Daniel Bustaffa soutient à 100 % le coach Christian Labit dans ses coups de gueule "Il faut que les choses bougent, que le club évolue avec des structures dignes du rugby professionnel". Concernant la saison qui arrive, avec un premier match à Colomiers, il se veut ambitieux "Après le bon parcours de cette année, il serait bien d’atteindre le dernier carré pour l’édition 2022/2023". Daniel, qui nous reçoit dans ses vignes à Aigues-Vives, dans le Minervois, où il exploite une quinzaine d’hectares, se repasse le film de son parcours professionnel. "Voilà plus de 40 ans, avec mon ami Bernard Fesquet nous avons acheté un magasin de sport rue de Verdun. Après quoi, j’ai repris l’exploitation familiale et je suis devenu viticulteur. La page se tourne et je serai à la retraite dans quelques mois, j’aspire à profiter d’un repos bien mérité dans notre maison de Villedubert, avec Martine, mon épouse.

Ilsfont bouger les lignes. Harcèlement en ligne : la fin de l’impunité?, Documentaire d'Olivier Delacroix et Julie Ledru (France, 2020), 90 mn, disponible en replay

Ils font bouger les lignes Documentaire 2020 Disponible sur Prime Video, A travers les récits de leurs vies et de leurs expériences, des hommes et des femmes nous racontent le cheminement qui leur a fait explorer les nouveaux territoires de notre société. Auprès de ces éclaireurs, Olivier Delacroix est le témoin de batailles qui peuvent tous nous concerner. Documentaire 2020 Tout public Similaires À propos Ils font bouger les lignes DOCUMENTAIRE A travers les récits de leurs vies et de leurs expériences, des hommes et des femmes nous racontent le cheminement qui leur a fait explorer les nouveaux territoires de notre société. Auprès de ces éclaireurs, Olivier Delacroix est le témoin de batailles qui peuvent tous nous concerner. Informations Studio France 5 Genre Documentaire Sortie 2020 Classé Tout public Langues Audio Français France

Depuis8 jours, les dockers sont en grève au port de Felixstowe dans l'est de l'Angleterre. Ils réclament des hausses de salaires au moins égales au rythme de l'inflation. Felixstowe, c'est le Pour ce nouveau volet de la collection documentaire “Ils font bouger les lignes” à découvrir mardi 6 avril à 2050 sur France 5, Olivier Delacroix interroge des femmes et des hommes qui, avec force et détermination, éveillent les consciences et bousculent l’ordre notre société évolue, dans ses codes et ses repères, c’est souvent grâce aux combats de ceux qui ont eu le courage de les remettre en travers les récits de leurs vies et de leurs expériences, des hommes et des femmes nous racontent le cheminement qui leur a fait explorer les nouveaux territoires de notre société. Auprès de ces éclaireurs, Olivier Delacroix est le témoin de batailles qui peuvent tous nous qu’ils ont su échapper aux normes ou renverser des situations dans lesquelles ils étaient enfermés, ces femmes et ces hommes nous invitent à réfléchir, à s’interroger sur la société dans laquelle nous refusant de capituler, en refusant l’inertie, ils ouvrent les portes du monde de demain et nous emmènent dans leur sillage. Conscients que rien n’est gagné d’avance, ils font bouger les lignes pour eux, pour nous notre société, les stéréotypes sexistes ont la vie dure. Ancrés dans les mentalités depuis des siècles, ils renforcent les inégalités entre les femmes et les hommes, favorisent les discriminations. Parmi les clichés les plus courants, la grâce et la douceur associées aux filles, la force et la puissance aux garçons. Les préjugés enferment chacun dans des cases et conduisent aux inégalités salariales, au plafond de verre. Leur omniprésence maintient le patriarcat et la domination Delacroix accompagne dans ce film des femmes et des hommes qui ont échappé au carcan sexiste et trouvé leur voie dans un domaine où personne ne les attendait. Parce qu’ils ont suivi leur passion et leurs objectifs sans se soucier des préjugés liés à leur genre, ils prouvent que l’on peut choisir et ne pas baigne dans le monde de la boxe depuis son enfance. Son père, entraîneur, lui a appris à se défendre sur un ring. Pourtant, quand Sofia prend son envol à 20 ans pour devenir boxeuse professionnelle, elle se heurte aux discriminations. Aucune salle ne veut l’intégrer et quand enfin elle trouve un club, elle doit s’entraîner après les hommes. Après des mois d’acharnement, Sofia prouve à tous qu’elle a sa place. Elle intègre l’équipe de France féminine de boxe et entraîne en parallèle des enfants. Une manière pour elle de les sensibiliser dès le plus jeune âge à la mixité dans le qu’elle est en politique, Sophie doit lutter contre les constantes remarques machistes. Impossible d’être écoutée et respectée par ses confrères lorsqu’elle prend la parole dans les meetings ou à l’Assemblée nationale. Pour trouver sa place, la députée a travaillé deux fois plus que les autres et a appris à cacher sa féminité. Face à cette injustice, elle a créé en 2009 "Femmes au centre" pour briser le plafond de verre. Une association qui lutte pour les droits des femmes et contribue à leur intégration dans la vie a lui aussi été victime de cette représentation genrée dans le sport. A 8 ans, il découvre la gymnastique rythmique et très vite, il excelle dans le maniement du ruban. Pourtant, le jeune homme a beau être un athlète de haut niveau, il n’a pas les mêmes droits que les femmes dans sa discipline. En effet, la gymnastique rythmique ne propose pas, en France, de compétition masculine et c’est l’une des seules disciplines olympiques uniquement réservées aux femmes. Peterson doit donc faire face à des railleries quotidiennes et l’impossibilité de concourir à l’international pour son a repris, il y a 4 ans, l’entreprise familiale créée par son père 45 ans plus tôt. Un défi pour cette jeune femme de 34 ans qui a dû s’imposer dans un milieu très masculin. Si aujourd’hui Déborah assume ce statut de cheffe d’entreprise, elle a eu beaucoup de mal à se sentir légitime dans ce rôle. Elle fait désormais partie du réseau "Femmes et challenge" et encourage l’entrepreneuriat féminin. 9esC8W.
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